Coup de cœur
Lieu : parc national de la Gaspésie, Gaspésie, Québec
Altitude : 1151 m (mont Albert) et 670 m (mont Olivine)
Sentiers : sentier du mont Albert, sentier du Sia et sentier du mont Olivine
Distance : 20,4 km
Dénivelé cumulatif : 1377 m
Niveau : intermédiaire – difficile

Date : 28 août 2020
Dernière randonnée au programme pour ma visite au parc national de la Gaspésie. Je devais faire cette randonnée plus tôt, mais les conditions météorologiques n'étaient pas de mon côté. Comme je devais  aussi quitter le camping pour revenir chez moi à 8h de route du parc, sur un coup de tête, je décide que je vais quand même faire cette randonnée et ensuite, prendre la route. Les prévisions météos de la veille annonçait du beau soleil. Bien, ce fut l'inverse : vents violents, pluie et froid étaient au rendez-vous. J'ai dû m'abriter plus de 1,5 h avant de poursuivre mon chemin. 
Au sommet du mont Albert après que la pluie se soit arrêtée et que les vents se sont calmés. Le ciel est un plafond dense de nuages.
Pour le parcours, j'ai opté pour la randonnée dans le sens anti-horaire. J'avais lu des débats à ce sujet sur le Web pour savoir quel est le meilleur sens. Dans ce sens, le sommet est seulement à 6 km du départ et le gros du dénivelé du trajet se fait durant cette section, ce qui à correspondu à environ 2 h de marche de ma part. Ce n'est pas une partie très technique, mais devient plus inclinée à la moitié de celle-ci. J'ai toujours eu comme philosophie de faire les sections dès le départ, si possible, pendant que j'ai le plus d'énergie.
Le point le plus haut du sommet au loin. Malheureusement, ce n'est pas accessible pour les randonneurs. Il est aussi intéressant de constater qu'à cette partie de la montagne, la pierre est très sombre, tandis qu'un kilomètre plus loin sur le parcours, la roche sera dans des teintes orangées.
Au sommet du mont Albert, en attendant le soleil prévu... qui ne viendra jamais au cours de la journée.
Toujours au sommet du mont Albert, en direction vers la Grande Cuve. De cet angle, le sommet ressemble plutôt à une vaste plaine.
Une partie du sentier est sur passerelle pour conserver la végétation. Même si nous sommes à la fin août, le paysage et le ciel dramatique me font plus penser à l'automne. Il faut dire qu'ici, les feuilles ont déjà commencé à rougir dans les arbres.
Point de vue au belvédère de la Grande Cuve, qui est probablement le décor le plus spectaculaire de cette randonnée. Le sentier se rend jusqu'à la rivière que l'on observe au loin. La descente est réputée pour être difficile pour les genoux à cause des nombreuse roches qui s'y retrouvent, Cependant, et même si je souffre de problèmes de genoux depuis des années, j'ai trouvé cette section beaucoup plus facile que prévu. Si vous êtes habitués aux randonnées dans les White Mountains dans le New Hampshire ou les Adirondacks dans l'état de New York, vous ne devriez pas avoir de problèmes techniques à cet endroit.
Je trouvais que cette plante détonnait dans ce décor plutôt orange et vert.

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Après avoir descendu la pente la plus inclinée de la Grande Cuve, le reste du dénivelé négatif se fait très progressivement. Malgré les roches très présentent, ce n'est pas si difficile que ça puisque celles-ci sont généralement stables.
Petite pause au lac du Diable. Comme il me reste de l'énergie, je décide d'aller explorer le mont Olivine qui est tout près.
Pancarte indiquant le sommet du mont Olivine.
Au sommet du mont Olivine. Même si cette montagne n'est pas aussi haute que le mont Albert, elle offre de jolies points de vue et surtout, il y a beaucoup moins de randonneurs sur celle-ci.

Au sommet du mont Olivine.

Au sommet du mont Olivine.

Pour la dernière photographie de mon séjour, pourquoi ne pas utiliser le trépied que je trimbale à chaque randonnée, mais que je n'utilise jamais. C'est le moment idéal pour tenter de capturer le mouvement de l'eau d'un petit ruisseau.
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